« Le bonheur est t-il dans l’objet ? »

Dans la « Complainte du progrès », Boris Vian chantait à quel point l’amour avait changé, qu’aujourd’hui pour séduire le cher ange on lui offrait des pelles a gâteaux plutôt que son cœur. Dans ces paroles Boris Vian aborde un thème plus que d’actualité du XXI eme siècle, qui est celui du rapport entre la possession d’objet et le bonheur. La surconsommation est-elle synonyme de bonheur ? Posséder suffit-il à l’homme ?
Pour répondre à cette question nous pouvons émettre un avis mitigé, un abordant tout d’abord les aspects positive de cette possession puis les aspects négatifs.

Dans un premier temps nous pouvons voir que l’objet peut apporter du bonheur.
En effet, nous vivons dans une ère de technologie ou la création et la possession de certains objets ont révolutionné le quotidien. Autrefois les taches ménagères les plus simples pouvaient nécessiter des heures de travaux et contraignais une énorme part de la population féminine à mettre au centre de leur occupation ces taches. A l’heure actuelle certains objets font partie du quotidien et leur disparition provoquera un tollé général. On peut d’ailleurs mettre en avant le frigidaire qui a sa mise à disposition des foyers s’imposa comme élément capital et central de la cuisine.
Ensuite, l’objet permet de faire plaisir à autrui et contenter ses attentes. Les parents offrent des cadeaux à leurs enfants espérant voir un sourire sur leur visage et les amoureux se couvrent de présent pour montrer leur passion. Quel symbole le plus important que celui de la bague pour signifier l’amour le plus profond et l’engagement envers un être. L’objet en tant que cadeau permet de montrer que l’ont tient a l’autre et que l’on souhaite combler ses besoins matériels pour qu’il ne manque de rien. Rien de plus frustrant que d’être dans l’incapacité financière d’acheter un présent pour noël ou