Dissertation philo

1697 mots 7 pages
Il semble évident à tout un chacun que nous sommes capables de nous présenter à autrui et d’expliquer très précisément qui nous sommes pour cela seule la personne qui a de grave trouble de l’identité sera dans l’impossibilité de répondre de façon exacte à la question « qui suis-je ? » Toutefois, nous changeons dans le temps aussi nous apprenons à nous connaître, il semble donc que nous soyons incapable de nous définir comme nous définirons un objet, c’est-à-dire de façon définitive, cela implique donc que toutes réponses que nous apportons à la question « qui suis-je ? » est voué à devenir inexacte. Est-il alors impossible pour nous d’accéder à une connaissance vrai sur nous-même ou au contraire pouvons-nous y prétendre et dans un tel cas quel sera le statut de cette vérité. Nous verrons, tout d’abords l’évidence que nous sachions qui nous sommes. Toutefois, je suis ce que je deviens. Dès lors, à quelle vérité pouvons-nous prétendre pour accéder à nous-mêmes ?

Tout d’abord, je possède une identité, qui me rappelle à tout qui je suis, je suis un corps visible par tous, celui-ci me donne une existence unique et permanente symbolisé par mon nom. J’ai conscience que le « je » que j’utilise pour parler de moi que ce soit au passé, au présent ou au futur est toujours le même, il ne change pas, il reste toujours un pronom personnel malgré les modifications apparente de ma personne. Ma carte d’identité institutionnalise cette existence. Puis Gnôthi sauton, qui vient du grec et signifie « connais-toi toi-même ». Connaître quelque chose, c’est toujours savoir à partir de soi. C’est à partir du sujet que se construit le rapport au réel, que s’élabore toute connaissance. Ne pas se connaître impliquerait alors une impossibilité d’une connaissance de soi. Cependant se connaître soi-même, c’est d’abord se repérer comme homme, savoir quelles sont ses limites. Mais ce sujet n’est pas individuel, sa conscience est avant tout morale. Mais avons-nous vraiment une connaissance de

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