Dissertation Philo
Lee Geonhee TeL
Le langage humain abonde de mots qui nous permettent de communiquer avec nos semblables, mais aussi d’exprimer nos sentiments et nos passions, sans omettre une fonction très importante, expression de la pensée. Tout cela se traduit par des paroles, par des mots, chaque élément possède un ou plusieurs mots pour le nommer. Nous semblons donc dans la capacité certaine que cette langage de façon à toujours nous faire comprendre des autres. Lorsque nous parlons, nous ambitionnons à une compréhension parfaite de notre pensée en essayant de trouver des mots les mieux adaptés. Cependant, nous entendons souvent dire que nos paroles nous ont trahit. Les mots qui ont été prononcés ou écrits ne sont pas ceux qui reflètent avec exactitude ce que nous avons visionné réellement dire ; ce sont d’autres mots qui ont été formulés, ils ne sont donc pas le même de ce que nous avions à dire. L’homme est alors trompé par ses propres paroles, il est trahit parce qui fait de lui un homme, par une ses caractéristiques premières. Nous sommes ainsi en droit de nous demander en quel sens peut-on dire que nos paroles nous trahissent. Est-ce que le langage ne serait il donc pas un outil inadéquat, ne serait-il pas défaillant ? Une supposée entre nos paroles et nous, est ce que cela a réellement du sens ? Nous serions donc dans l’incapacité de nous faire comprendre du langage en tant que tel. Car c’est ce qui nous retourne systématiquement en erreur et qui nous trahirait chaque fois que nous l’utilisons.
I)
Le langage que nous utilisons est ce qui doit nous permettre de nous exprimer de manière à être compris.
Nombreuses sont pourtant les occasions où nous sommes obligés de reprendre nos paroles car elles ne correspondent pas à ce que nous pensions et voulions dire. Et pourtant, c’est nous-mêmes qui choisissent les mots employés. Est-ce à dire que le langage peut trahir la pensée ? Le mot Trahir, représente déjà décevoir une relation de