Dissertation : quels sont les effets d'une organisation du travail plus flexible?
PIB, puis sur les conditions de travail.
I. Les conséquences économiques
A. Un facteur de hausse de la productivité
Face à la concurrence, les entreprises cherchent à être plus réactives
(doc. 1). Une nouvelle organisation du travail favorise la hausse de la productivité (doc. 2). Cela se vérifie aux États-Unis, moins en Europe
(doc. 3). On peut expliquer cette difficulté européenne soit par un investissement insuffisant dans les TIC, soit par une flexibilité insuffisante des entreprises (doc. 2).
B. Un facteur de croissance économique
La hausse de la productivité (doc. 2) favorise l’offre directement car une même quantité de travail permet de produire plus, et indirectement du fait de l’utilisation des gains de productivité. Cela se vérifie aux États-Unis qui connaissent une croissance plutôt forte.
II. Les conséquences sociales
A. Une plus grande autonomie dans le travail
Le toyotisme renonce à prescrire toutes les tâches des salariés comme prétendait le faire le taylorisme. Les salariés doivent donc prendre des initiatives. Cette autonomie dans le travail est un facteur de croissance de la productivité (doc. 4).
B. Des contraintes nouvelles
Cependant, des contraintes se renforcent en particulier celles qui correspondent à la satisfaction de la demande (doc. 5). L’obligation à la fois d’innover et de respecter les normes est génératrice de stress et de souffrances au travail (doc