Dissertation sur le roman
A la fin du XIXème siècle, Balzac, Flaubert, Maupassant et Huysmans écrivent respectivement « Illusions perdues », « Bouvard et Pécuchet », « Une vie » et « Là-bas ». Ces romans peuvent êtres interprétés differement par les lecteurs. Comment ? Le lecteur doit-il apprendre quelque chose en lisant ces textes ou au contraire ne rien apprendre et sortir de son quotidien ?
« La vie voyez-vous ce n’est jamais si bon ou si mauvais qu’on croit » : une phrase de Maupassant qui nous prouve que même dans les romans on peut se rendre compte des différents aspects de la vie. Dans « Illusions perdues » , de Balzac, le tenue vestimentaire et le lieux où l’on vit démontre le groupe social d’où l’on vient. Lucien comprend qu’à Paris on ne s’habille pas pareil qu’en Province, on n’a pas la même « classe » : « transporté à Paris, une femme qui passe pour jolie en Provincen’obtient pas la moindre attention ». Dans Bouvard et Pécuchet de Flaubert les deux protagonistes apprennent aux lecteurs qu’on obtient rien sans rien. Le Para texte du texte 2 nous annonce : « Ils se lancent dans l’agriculture mais ils échouent dans tout se qu’ils entreprennent ». Ils ne s’en sortent pas car ils n’ont aucune volonté comme on peut le voir à l ligne 6 à 7 : « au bout d’un quart d’heure une fatigue les prenait. Donc ces deux romans peuvent en effet nous faire ouvrir les yeux sur la vie et introduit subtilement une morale. Nous allons maintenant voir comment le roman nous fait sortir de notre réalité.
Quand on lit un roman on s’attend à être transporté dans un univers qui n’est pas le notre soit par un retour dans le passé, soit par un changement de classe sociale du personnage auquel on s’identifie. Le texte d’Huysmans Là-bas nous permet évader grâce