Dissertation, l'enregistrement des données archéologiques.
Introduction
L'enregistrement soigneux des données sont une priorité dans la définition de l’activité archéologique. Car tout d'abord, on a signalé que toute fouille provoque la destruction de vestige notamment lorsque sur le même site s'étagent plusieurs périodes historiques. Il y a des exemples comme en France où on passait du niveau médiéval pour accéder au niveau antique ou comme en Grèce, les niveaux byzantins ont longtemps soufferts. Pour éviter la disparition des vestiges, l'enregistrement étape par étape est primordial. Elle intervient à chaque fois qu'un archéologue constate le passage d'une unité stratigraphique à une autre.
L'élaboration de la « fiche d'état civil » de chaque vestige matériel est une part importante dans la mission de l'archéologue. L'enregistrement partiel des vestiges peut causer des dégâts irréparables. Les méthodes constituent également une stratégie propre à chaque fouille en fonction des contraintes spécifiques. L'archéologue doit respecter un protocole connu ou nouveau. On peut donc se demander,
Quelles sont les fonctions des différents systèmes de l'enregistrement qui représente une étape décisive dans la fouille archéologique ?
Les techniques de l'enregistrement.
Les principes et les méthodes. En premier lieu, il faut enregistrer non seulement tous les vestiges mobiliers et immobiliers (structures), mais aussi les différentes couches stratigraphiques. Tout objet sera enregistré selon la position exacte qu'il occupe dans une couche. La couche sera par la suite, daté par l'examen typologique ou physico-chimique des vestiges qui la compose. Les systèmes d'enregistrement varient selon les périodes considérées ; Préhistorique, protohistorique, historique. Mais aussi selon les types de sites fouillés : sites urbains / ruraux. Il n'y a aucune méthode exclusive d'enregistrement, mais autant de pratiques que de chantiers
L'enregistrement par unité stratigraphique