Selon le sociologue Karl Marx, la théorie est au service de la transformation social. Il fait partie d’une approche holiste c’est-à-dire qu’il pense que c’est la société qui influence l’individu. La socialisation est un processus d’acquisition de normes et des valeurs propres à une société. Le milieu social d’appartenance que l’on peut définir par un groupe de personnes qui ont un ensemble de caractères communs, qui appartiennent au même groupe social au sein duquel il existe une culture commune. On peut donc se demander dans quelle mesure le milieu social d’appartenance détermine-t-il la socialisation. Nous centrerons notre analyse principalement sur le cas de la France durant les vingt-cinq dernières années. Ainsi, nous verrons dans un premier temps que le milieu social détermine fortement la socialisation (I), puis nous examinerons dans un second temps que la socialisation ne dépend pas uniquement du milieu social d’appartenance(II) Dans une première approche, nous analyserons que la famille joue un rôle important dans la socialisation primaire(A), puis nous préciserons dans une seconde approche que la socialisation est déterminé par un certains nombres de critères.
Le milieu social détermine fortement la socialisation.
Tout d’abord, la famille joue un rôle important pendant la socialisation primaire que l’on puisse définir par ce qui concerne l’enfance de l’individu et est accomplie par la famille et l’école principalement. La famille constitue l’instance principale de la socialisation, elle intervient dès le plus jeune âge lorsque l’enfant est le plus malléable et qui se déroule dans un climat affectif. Elle va structurer la personnalité de l’enfant et filtrer les messages transmis par les autres acteurs. Le mère détient une place importante par exemple dans la socialisation en instaurant des stratégies éducatives pour les manières à table.
Nous avons vu précedemment que la famille jouait un rôle important dans la socialisation primaire et