Dissertation
Année : 2012/13
Bouvard Evan Mera Maxime
I. 1er axe de travail : Le contexte
Durant l’occupation, communiquer s’avère difficile. L’occupant contrôle les journaux, la radio, … ce qui rend tout échange impossible. L’apparition d’affiches incitant la population à changer de camp rend la propagande de plus en plus forte.
Pour communiquer avec la population, les Résistants dessinent les premières traces de refus de l’occupation sur les murs de la ville, des V pour victoire, comme marque pour une France libre, apparaissent. Par ailleurs, ils arrachent les affiches de propagande Nazi sur les murs, …
Les résistants distribuent également par avions des tracts ainsi que des “papillons“ ce qui leur permet de communiquer et de rappeler leur devoir à la population.
II. Communiquer pour résister
2ième axe de travail
Durant la guerre de nombreux journaux clandestins ont essayé tant que possible et avec les moyens du bord d’assurer une information complète et surtout périodique de la population dans des conditions extrêmement difficiles ce qui ne fait qu’accroître leur mérite. Les jeunes ont exercé une participation active à la création de ces journaux et à leurs diffusions. Les imprimeurs et distributeurs de la presse clandestine ont payé un très lourd tribut à leur mission d’information d’une population soumise en permanence à la propagande vichyste et allemande. Il est essentiel, à l’époque, que la presse clandestine atteste, par sa présence, des milliers d’initiatives des réseaux et des mouvements qui couvrent le pays, et qu’elle soutienne le moral et les espoirs des Français.
La presse clandestine a été l’activité principale de mouvements qui portaient le nom de leur publication : en zone Sud Combat ,Franc-Tireur, Libération ; en zone Nord Résistance, libération, Défense de la France .
Nom du journal :Défense de la France.
À l'origine développé essentiellement en zone Nord, le mouvement Défense