Grégoire 1S1
Sartorio

Dissertation

Depuis longtemps le théâtre est considéré comme un divertissement ouvert à tous. Les gens y vont pour admirer les œuvres de certains auteurs, qui par leur style d'écriture se distinguent les uns des autres. Malgré tout, les auteurs utilisent les mêmes codes ou registres d'écriture pour écrire leur pièce. Par exemple, la mort d'un personnage est souvent reliée au registre pathétique. Celui ci permet a l'auteur de susciter la pitié pour un personnage dans une situation douloureuse.
En prenant cette exemple on peut alors se demander si la mort doit nécessairement avoir une dimension pathétique ?
Nous essayerons de répondre a cette question grâce a deux grandes parties : l'une montrera qu'il est possible d’associer l'image de la mort avec le registre pathétique et l'autre nous montrera que nous pouvons nous passer de celui ci dans certains cas, et utiliser un autre registre parfois plus adapté.

Dans un premier temps, la représentation de la mort s'associe très bien avec la dimension pathétique que donne certains auteurs. Étant donné que le registre pathétique inspire au lecteur des émotions fortes et tristes ,cela entraîne une certaine compassion de celui ci face à la situation. On peut alors penser que ce registre s'accorde parfaitement avec la mort d'un personnage.
Par exemple le texte d'Eugène Ionesco, le roi se meurt , illustre très bien cette situation. Dans ce passage le roi apprend qu'il va mourir et essaye d'avertir le peuple de sa mort. Son entourage ne s’inquiète pas à ce sujet et voit les avantages que cela va lui apporter. A ce moment l'utilisation du registre pathétique est très important car cela entraîne la compassion du lecteur pour la victime.

Ensuite, dans le théâtre nous pouvons assister à d'autres morts pathétiques. Le suicide est l'une des plus