C'est au début des années soixante qu'on met en place l'ADATA, en France. Il y a 8 grandes villes considérées comme des métropoles d'équilibre. Des géographes comme Rochefort utilisent ces méthodes. Il y a d'autres modèles comme l'analyse spatiale de Reilly et Brunet : il faut essayer de comprendre le potentiel d'atraction. Egalement les travaux de Haulman. Ces réflexions amènent à la théorie de la croissance polarisée. Les agents économiques privilégient les lieux où existent déjà un certain nombre de circuits. Comment comprendre la décision des acteurs ? On prend désoormais en compte le jeu des acteurs. Chaque localisation résulte de choix et ces choix sont soit individuels, soit collectifs. L'impact dans l'espace résulte du choix de multiple acteurs. Tout est dû à une organisation.
Dans l'espace il y a deux notion clés : distance et espacement. Tout est distribué avec une distance plus ou moins grande. Chaque lieu exerce sur les autres lieux une influence plus ou moins grandes. Toute organisation de l'espace met en jeu des énergies. Tout lieu dans l'espace géographique, exerce sur les autres une attraction en fonction directe de sa masse et en fonction inverse de la distance qui les sépare de lui. "Plus c'est gros, plus ça attire" (LOL). Pour Brunet, l'élément clé c'est ?
Enormément de succès notamment depuis les années 90. Roger Brunet va plus loin en développant ce qu'il appelle "la charématique". Brunet nous dit qu'il y a des lois dans l'espace. Il y a donc des régularités, et derrière le voisonnement on retrouve en réalité, pratiquement les mêmes choses. On retrouve des villes partout. En définitive, les objets géographiques ne sont pas si nombreuses et que cela peut se réduire en quelques formes majeurs et tout dépend après de l'agencement de ces formes majeures. Il les schématise et les appelle des "corems". Ce sont par exemple des points qui peuvent signifier une ville, un aéroport, un port, etc. Des traits, des lignes de circulations... une démarche