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564 mots 3 pages
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CORRECTION DEVOIR DE NIVEAU II

I. PROBLEMATIQUE DU TEXTE
Thème : la liberté et le déterminisme.
Problème : l’homme est-il libre ?
Thèse : l’homme est condamné à être libre.
Antithèse : l’homme est déterminé.
Intention : négation de tout déterminisme.
Enjeu : la liberté. II. STRUCTURE DU TEXTE EN VUE DE SON ETUDE ORDONNEE
Premier mouvement : « DOSTOIEVSKI avait… possibilité de s’accrocher ». Justification de l’opinion de DOSTOIEVSKI.
Deuxième mouvement : « il ne trouve d’abord… des justifications ou des excuses ». Négation des déterminismes biologique et morale.
Troisième mouvement : « nous sommes seuls… à être libre ». La liberté de l’homme. III. INTERET PHILOSOPHIQUE THESE PROBLEMATISEE : L’homme est-il libre ou déterminé ? A. Critique interne.
L’auteur évoque et soutient l’opinion de DOSTOIEVSKI d’abord, nie les déterminismes biologique et morale ensuite, et en déduit la liberté de l’homme enfin. Cette procédure est en congruence avec son intention qui consiste à montrer que l’homme ne subit aucun déterminisme.
Les différentes idées principales sont bien argumentées mais non illustrées pour un surcroît de clarté. B. Critique externe. 1. L’homme serait libre :
Au rebours de l’animal qui est programmé, car naissant avec toutes ses caractéristiques essentielles ; l’homme est à sa naissance un non-être ou un néant d’être. Cf. L. MALSON « de tous les êtres vivants, l’homme est à sa naissance le plus incapable ». N’étant défini par aucun concept, il se réalise lui-même selon ses propres perspectives et son gré au point de devenir ce qu’il a librement choisi d’être. Cf. SARTRE « l’homme est seulement, non seulement tel qu’il se conçoit, mais tel qu’il se veut ».
En obéissant aux devoirs ou obligations, l’individu acquiert une double libération : d’une part il n’obéit pas aux injonctions des pulsions et autres désirs inconscients et affirme ainsi sa liberté morale ; mais aussi il se préserve de l’action liberticide

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