Charles Desgens
Frédéric Gaudreau
340-CSB-GR 02

La morale

Dissertation philosophique
Présentée à
Monsieur Rémy Karim Sabbagh

Cégep Granby Haute-Yamaska
25/04/2013
La morale entoure les gens dans leur quotidien, bien que ceux-ci ne s’en rendent pas tous compte. Chaque jour, des questions se posent sur les actes à poser ou sur les décisions à prendre. Plus souvent qu’autrement, c’est-à-dire celles qui sont morales. Morale et liberté sont couramment employées l’une avec l’autre. Est-ce la morale qui suppose la liberté, ou bien la liberté qui suppose la morale? Jusqu’à quel point la cette morale peut-elle être innée et jusqu’à quel point peut-elle être acquise au cours du temps? En premier lieu, c’est la liberté qui suppose la morale. Dans un second lieu, la morale innée et la morale acquise ont toutes les deux une certaine limite qui dépend de divers facteurs.
D’abord, plusieurs philosophes se penchent sur la question de savoir si c’est la morale qui suppose la liberté ou bien que ce soit la liberté qui suppose la morale. Bien la réponse est simple, c’est la liberté qui suppose la morale puisque pour être libre, il faut d’abord avoir un bon jugement. Un être moral sera un être libre, puisqu’il sera en mesure de déterminer par lui-même la justesse et la valeur d’une action à poser. Une personne morale aura par le fait même une liberté qui dépassera les limites : c’est une liberté supérieure. Cette liberté correspond aussi à une curiosité intellectuelle : c’est désirer connaître et apprendre de nouvelles choses et à trouver des réponses. La liberté, c’est avoir le goût de découvrir, mais aussi d’accroître des connaissances supérieures. La morale est un préalable pour la liberté, puisqu’en connaissant la valeur d’un choix ou d’une action, la personne est libre de poser le bon acte, de prendre la bonne décision. Si la liberté signifie le pouvoir de choisir, un être immoral n’as pas cette capacité puisqu’il ne sait tout simplement comment faire le bon