Disserte
- Et bien si vous avez lu comme vous le dites mon récit tous est écrit dedans je ne vois pas en quoi je pourrais plus vous éclairer ! Rétorqua Rousseau
- Oui en effet j’ai cru comprendre et corrigé moi si je me trompe vous trouvez que l’apologue abuserai les enfants au lieu de les amuser ?
- C’est exactement ce que j’ai voulu dire de vos fables. Prenons vos morales jamais dans celles-ci je n’ai trouvé de point positif vous ne pourrez pas dire le contraire mais dans toutes vos morales il faut que vous critiquez la société.
- C’est bien le but de celles-ci je veux qu’a travers mes écrits les enfants comme les adultes puissent se rendre compte de la cruauté du monde dans lequel ils vivent et de ne rien leur cacher et encore moins leur mentir.
- Je ne peux pas dire que vous leur avez menti mais à de jeunes enfants leurs donner la vérité et ne pas leur laisser le temps de rêver en imaginant le monde à leur manière sous prétexte de les éduquer ! s’exclama Rousseau
- Si nous les laissons imaginer le monde à leur manière comme vous le dites si bien pensez vous à la déception qu’ils vont avoir lorsqu’ils vont se rendre compte que ce qu’ils avaient imaginé et à l’opposer de se passe réellement dans le monde
- Toujours en parlant de vos morals ne les trouvez vous pas disproportionnées pour leurs âges ? Interrogea Rousseau
- Mais elles ne sont pas seulement destinées à des enfants monsieur. Rétorqua la Fontaine
- Poursuivons ! En écrivant de telles balivernes vous devez penser que les enfants vont retenir l’intégralité ? Je vais vous le dire. Les chérubins vont retenir le vice et non la vertu.