Divers
Je me dirigeai vers son domicile - plutôt difficile à trouver ! Il habitait une vieille maison éloignée de la ville, immen, le bruit des vagues claquant contre les récifs, le ciel assombri, le hurlement du vent, tout ceci me fit frissonner...
Une fois arrivé devant la demeure de mon client, je descendis de ma voiture et allai vers la porte principale.ntait à moi ; je tapai trois fois.
La maison donnait l'impression d'être inhabitée. J'étais sur le point de repartir quand la porte s'ouvrit lourdement. MacOemblait avoir été dévasté par un ouragan.
Un seul objet était là, indemne, posé sur la même table basse : la statuette d'où émanaient de sombres éclats qui m'envoutaient. Je me dirigeai vers elle, la saisis, et tout mon corps fut envahi par une sensation désagréable, un frisson de terreur... Elle exerçait une pression sur moi, je ne pus m'en séparer. Je jetai un rapide coup d'œil dans les autres pièces, n'y trouvai aucune trace de vie. Je rentrai alors lentement chez moi, emportant la statuette.
*
Jn peux plus. J'ai demandé de l'aide, j'espère que cela suffira, qu'elle me laissera partir. Il faut que cela cesse.
*
Je suis seul, chez moi, avec la statuette. J'ai besoin