TRAVAIL D’ECRITURE :
Monsieur le Maire,
J’habite la ville de Laneuveville devant Nancy dont vous êtes le maire depuis une dizaine d’année et tiens à vous faire part d'une scène que je n'aurais pas imaginée dans notre localité agréable et fleurie, qui ne s'est jamais fait remarquer par la détresse sociale. Je vous écris en simple citoyen, qui n'a pas fait d'engagement ni l'intention d'attaquer votre politique. Je souhaite simplement porter à votre connaissance une cruelle injustice.
Il y a de ça une semaine, j’étais avec mon fils au lotissement des 5 fontaines quand nous décidâmes d’aller faire les commissions pour le déjeuner. Dehors, il faisait relativement froid. Après une bonne dizaine minutes de voiture, nous arrivâmes au commerce habituel où nous faisions habituellement nos courses. A l’entrée du magasin, mon fils et moi-même pûmes apercevoir trois petits enfants très mal et peu vêtus. Ils étaient attifés d’un simple maillot de corps et d’un short tout en tissu. Ils sanglotaient ! Surpris de voir ceci, nous nous approchâmes des trois petits minots. Ils ne parlaient pas français, il était donc très difficile de communiquer avec eux. Nous prîmes le choix de rentrer finalement dans l’échoppe situé sur notre droite. Mon fils était quelque peu choqué de la situation de ces pauvres petits marmots. Je ressentais beaucoup de pitié envers eux, j’avais donc l’intention de faire quelque chose ! Je décidai d’acheter un petit pull-over à chacun ainsi qu’un bas de survêtement pour les réchauffer. Avec cela, je pris également un peu de mangeaille pour qu’ils se remplissent le ventre. Plein d’empathie, je me dirigeai en direction des trois petits enfants. Ils furent surpris de ma compassion pour eux et me remercièrent à leur façon. J’étais ravi de leur reconnaissance. Sans plus attendre, ils enfilèrent leurs habits qui leur allaient à ravir. Cependant, j’étais embarrassé de laisser trois jeunes garçonnets seules au bord de la route. Je décidai donc de revenir dans le