Dm philo
1. L’expression d’un ‘je’
* expérience personnelle, les pronoms de la 1ère personne sont très nombreux mais seulement dans le 1er et dernier paragraphes. Dans le second, le singulier laisse place à un pluriel en ‘nous’.
* expression des sentiments personnels à travers un lexique connoté : ‘mon cœur’ (x3), ‘âme’ + les différentes conjugaisons du verbe ‘aimer’
2. L’adresse à Dieu
* un seul destinataire mentionné : Dieu à travers la périphrase ‘Seigneur’ et l’apostrophe ‘Ô Dieu’
* marques d’oralité avec les pronoms personnels de la 2nde personne du pluriel
II Le récit d’un souvenir
1. Les caractéristiques du récit
* détaché de la confession par mise en valeur dans un paragraphe précis + encadré par les actes de confession
* emploi des temps du passé : imparfait, passé simple
* brève description de l’univers adolescent : ‘nuit’, ‘habitude’, ‘jeux’,’une bande de mauvais garçons’ + l’excitation de l’interdit = le vol
* le ‘je’ s’efface dans le récit pour laisser place au ‘nous’ → relativiser le mal commis, déculpabiliser l’auteur par un effet de groupe
2. Le point de vue de l’auteur
* souvenir d’enfance relaté par l’auteur adulte qui veut se faire pardonner, d’où lexique dépréciatif de l’action commise : ‘exécrable’, ‘mauvais’, ‘énorme’, ‘défendu’
* emploi de nombreuses négations : ‘n’avaient rien… ni … ni’, ‘non pour’, ‘seul’ / permet de condamner l’action en la présentant par la négative
III La confession religieuse
1. L’omniprésence de Dieu
* Texte placé sous le signe de la religion, dès le titre
* champ lexical diffus de la religion et du péché : ‘Seigneur’, ‘péché’, ‘acte défendu’, ‘ Dieu’, ‘pitié’, ‘âme’, ‘soutien’, ‘mépris du sentiment de justice’, ‘iniquité’
* le seul destinataire de l’œuvre
2. La demande de pardon
Elle se fait en deux temps : - le 1er paragraphe : généralité sur les péchés que l’on ne peut que condamner, idée des lois de l’Eglise, de misère / forte