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Le rapport de Zola à l’image : relations à l’iconographie (iconographie zolienne) : c’est dans deux directions comment Zola lui-même s’inspire de le peinture de son époque. Il a consacré des articles à la défense de l’impressionnisme comme avec Manet. Il développe une réflexion d’esthétique. Dans ses combats il se considère lui aussi comme un artiste, quand il écrit une réalité il ne cherche pas une représentation photographique, les descriptions de Zola sont parfois des peintures. La peinture impressionniste au niveau des paysages il s’agit de paysages naturels en grande partie et parfois urbain, dans les portraits on va trouver des représentations de danseuses de chanteuses, de filles des rues. C’est un choix esthétique mais aussi idéologique au sens où les peintres impressionnistes refusent l’art officiel (« Pompiers », comme Renoir), c’est une peinture artificielle qui ne correspond pas à la réalité. A travers l’art académique Zola critique l’esthétique second empire qui est vulgaire, pour lui la beauté est dans d’autres représentations.
« Nana » de Manet : on est dans la peinture à la Zola (chapitre 5).
Un des peintres officiels, Cabanel, il représente Vénus cela vulgarise la mythologie. Représentation du corps féminin stéréotypée. Les représentations de la nudité féminine sont artificielles. Tout le premier chapitre montre la représentation des opérettes qui mettent en avant la beauté idéale.
Il y a dans Nana une réflexion esthétique sur l’opérette, mais qui a une dimension politique, ce qui est critiqué = art officiel.
Ekphrasis description d’un objet d’art, donc description dune description, dans le roman il y en a une. On peut