doctrine des operations de consolidation de la paix
L’on parlera ici le plus souvent quand le gros de l’action militaire est révolu, comment justifier que l’on passe outre l’autonomie constitutionnelle des états et l’obligation pour les organisations internationales de respecter le domaine réserver de chaque état. Or nous assistons à une plus grande instruisons a l’heure actuelle des organisations internationales pour assurer la démocratie, les droits de l’homme et l’Etat de droit. D’ailleurs le secrétaire général de l’ONU demande aux états d’assurer la sécurité de leur communauté national et que dans le cadre ou il est faillite de ceux-ci dans le cadre de cette mission a l’essence même de l’état, ces mêmes états s’engagent à laisser intervenir les autres états, notamment via des actions coercitives.
L’ONU est en haut de la pyramide dans le cadre juridique international, or les interventions international sont à l’heure actuelle mal conçue car précipité et avec une durée de vie à court terme, il en résulte des échecs, il serait à l’heure actuelle plus en adéquations de montée des opérations avec une stratégie sur le long terme pour réellement consolidé la paix.
Chapitre 1 principe d’intervention et souveraineté étatique
Le droit coutumier et les formulations conventionnel confirme la souveraineté de l’état, mais celui-ci peut abandonner ces compétences a un tiers sans que ne soit remis en question sont statut international, de fait se sont les conditions de ce transfert et non l’objet de celui-ci qui pose problème. En effet le consentement est-il valable ? Et s’il n’y a pas de consentement une action militaire n’est-elle pas une ingérence manifeste. On se doit alors de considérer la disparition de l’état ou de