JOANNIE BILODEAU KALLY VIGNEAULT

Problèmes d’adaptation et société 387-4B3-VI Groupe 01

TRAVAIL DE SESSION Prostitution

Travail présenté à Mme Émilie Trudel

Département des sciences humaines Cégep de Victoriaville Le 2 mai 2013
Contenu
Introduction 3 Description du fait social 5 Explication du fait social 10 Pistes de solutions 15 Conclusion 17 Médiagraphie 18

Introduction

Étonnamment, depuis 2006, le taux global de criminalité enregistré au Québec diminue un peu plus chaque année. En 2011, le taux de criminalité de notre province a constaté un considérable recul de 6% par rapport à l’année précédente. Cela revient à dire que si l’on se fie à ces statistiques, il y aurait de moins en moins de délits commis chaque année. Nous pourrions faire des liens entre cette diminution et les lois qui se resserrent au fil des ans, mais nous pouvons aussi nous questionner à savoir si ces statistiques dressent un portrait réaliste de la criminalité au Québec. En effet, nous savons tous que beaucoup de crimes se commettent chaque année sans que les fautifs se fassent nécessairement prendre. Parmi toutes les formes de délits possibles qui entrent dans le terme de «criminalité», nous retrouvons une pratique qui n’est pas illégale en soi, mais dont les circonstances qui l’entourent la rendent passible d’un chef d’accusation, soit la prostitution. Ne dit-on pas que c’est le plus vieux métier du monde? Vendre son corps pour en retirer des bénéfices ne date pas d’hier. Nous nous attarderons à cette large problématique en adoptant un point de vue sociologique, afin de démystifier les éléments qui en font partie, tels que sa définition, son ampleur, sa genèse, les facteurs qui favorisent la présence de la prostitution au sein d’une ville, et plus encore. De plus, des liens entre les différents aspects sociaux seront créés, et des pistes de solutions suggérées.

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