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L’ exposition a des sons HI/LF (High Intensity/Low Frequency) peut entraîner des dommages physiques, mais aussi des complications qui peuvent causer la mort.
Une des raisons pour lesquels des personnes peuvent aimer les sons HI/LF (produits en masse lors de concert de techno ou de hard rock) pourrait être la sensation procurée par la sécrétion d’adrénaline et d'endorphine (substance au pouvoir inhibiteur a la douleur 6 fois supérieur a celui de la morphine), qui agissent comme un stimulant et un anesthésiant (respectivement). L'endorphine provoque aussi une "euphorie" pouvant désorienter et/ou aveugler les gens. en effet, les sons HI/LF font entrer en vibration les cellules du corps humain, les endommageant et donc forcent le corps a sécréter de l'endorphine.
L'exposition aux sons HI/LF entraîne des pertes des capacités auditives et des fonctions d'équilibre, mais les travaux de Castello Branco (M.D., service neurologique de l'hôpital Capuchos, Lisbonne) ont montre les effets d'une exposition longue durée aux sons HI/LF :
troubles visuels, épilepsie, déficiences neurologiques et troubles psychiques, i.e anxiété, dépression et agressivité. Il a aussi découvert le risque de lésions du système nerveux central, ainsi que l'épaississement interne des petites artères périphériques.
Le degré d'exposition aux sons HI/LF détermine les dommages inflige a une personne. Dans les recherches du Dr. Branco, une exposition prolongée a des sons supérieurs a 110dB (le maximum légal lors d'un concert public aux Etats-Unis ; la plupart des pays n'ont pas de maximum légal) et a des fréquences inférieures a 100Hz, interfère avec le comportement et les performances d'un être humain.
La réglementation française actuelle limite à105 décibels le niveau sonore pour les discothèques et concerts. Dans la réalité, ces niveaux sont très souvent dépassés. Or ils sont déjà élevés, si l'on considère que le seuil de danger