Je vais d’abord vous parler de l’histoire d’Oradour-sur-Glane puis ensuite des œuvres qui on été reproduites .

C’était le 10 juin 1944 ,alors que l’armée allemande perd des batailles, commence à fatiguer. Une division de soldats du Reich entreprend de regagner les villes du centre puis du nord de la France. Sur son chemin, animée d’une colère froide, d’une folie sanglante, elle choisit de décimer au hasard un village paisible du Limousin: ce sera Oradour sur Glane
Le général Lammerding donne l’ordre à Arnolf Diekmann et l’unité SS Das Reich de détruire le village . Vers environ 14 h , ils arrivent . Arnolf Diekmann convoque le Docteur Desourteaux président de la délégation spéciale désigné par le régime de Vichy qui fait office de maire , il fait appel a crieur public pour ordonner aux habitants et même aux personnes de passage dans le village à se rassembler sur la place du marché sous prétexte d’une vérification d’identité . Vers 15 h ils commencent alors à emmener les 350 femmes et enfants dans l’église puis les 180 hommes et jeunes gens de plus de quatorze ans sont répartis dans six lieux d'exécution, par groupes d’une trentaine de personnes . Vers 16 heures les soldat agés d’environ une vingtaine d’année ont placés une sorte de caisse volumineuse dans laquelle dépassaient des cordons qu’ils ont laissé trainer sur le sol , ils ont alors allumé le cordon puis ça à explosé et pour être sur qu’ils meurent tous ils ont tiré dans tous les sens . Et de leur côté les hommes eux ont été mitraillé . Seul u une trentaine de personnes dont Marguerite Rouffanche ont réussi à s’échapper . Il y a donc eu un procès le 12 janvier 1953 . Le commandant Arnolf Diekmann n’a pas pu assister au procès car il est mort pendant la bataille de Normandie
Le 29 juin 1944 .

Je vais maintenant vous parler d’une des œuvres faite par rapport à cette histoire , le poème « Oradour » écrit par Jean Tardieu en septembre 1944, pendant la seconde guerre mondiale .

Le poème