Dom juan acte i scène 2, tirade de dom juan
Le spectateur attend de confirmer ou d’infirmer ce que Sganarelle a dit auparavant.
Problématique : Quelle conception de l’Amour défend DJ ?
I : Un éloge paradoxal
II : L’Amour comme un combat
III : Une tirade séduisante faite pour ravir
I : Un éloge paradoxal DJ refuse la fidélité où il met sur le même plan la mort et la fidélité (donc pour lui la fidélité et égale a la mort), il utilise pour cela une tonalité péjorative, méprisante pour condamné et disqualifier la fidélité porté par l’antiphrase « la belle chose de vouloir » (ironie), les interrogations et exclamations « quoi ? », « pour personne ? », et également par les verbes comme « se piquer de » et les tournures adjectives négatives « faux horreur », « ridicule » mais surtout par les formules restrictives « ne…plus d’yeux », « n’est bonne que ».
Pour Dj, la fidélité s’oppose à la vie et donc a l’instinct vital (champ lexical de la mort : « être mort », « qu’on se lie a demeurer », « s’ensevelir », « renoncer au monde »). L’éloge paradoxal sur un argument de beauté, DJ éprouve un ravissement dès l’instant qu’il rencontre une belle femme. Et c’est de cette rencontre que se met en place chez lui un mécanisme naturel rattaché à n champ lexical de la douceur « hommage », « tribut », « douceur extrême » et l’oxymore « douce violence ». Donc, pour DJ la fidélité s’oppose à la vue et elle apparaît dans son discours comme antinaturelle. L’infidélité paraît nécessaire.
II : L’Amour comme un combat
Pour DJ, l’Amour apparaît comme un siège militaire avec un champ lexical militaire : « réduire », « combattre », « rendre les armes », « résistance », « vaincre », « être le maître » … et surtout par la métaphore de la guerre et du combat avec un vocabulaire religieux (=être en guerre, recherche du conflit).
Ce qui est important par rapport à