Donjuan
Ce qu’on a aimé : Le texte separé en deux parties, La première partie est centrée sur l’opéra, alors que la deuxième partie, la plus importante du conte est principalement centrée sur le narrateur. Qui au désavantage du texte insiste un peu trop sur le cote psychologique et religieux de la vie de Don Juan.
la façon dont il decrit l’opera, la description es personnages est particulierement interressante vis-à-vis du lecteur, puisqu’ils sont admirablement bien decrit. Grace au vocabulaire melioratif .
Nous avons aussi fortement apprécié l’ingéniosité de l’écrivain qui est de ne pas révéler l’identité du narrateur cela laisse planer un mystère supplémentaire sur le texte.
Le narrateur est interne, ce qui nous permet de nous identifé à lui et de ressentir avec plus facilité les émotions traversant les personnages. Comme le romantisme boulversant du narrateur.
Nous avons été agrablement suprise par le denouement fantastique de l’histoire, la mort de Donna Anna.
Et les multitudes de questions que cela engendre :
Est-ce que le narrateur serait fou ? Est-ce un reve ? Ou est ce l’esprit de Donna Anna qui vient le hanter ?
En prenant compte que l’histoire nous précise que le narrateur se retrouve en la presence de Donna Anna seulement lorsque que cette derniere est inconsciente ou morte …
Quelques passages du texte nous ont laissé dubitatifs, lorsque le narrateur s’adresse à un certain theodor, serait se un clin d’œil a l’écrivain Ernst Theodor Amadeus Hoffmann ? Se qui serait original, mais nous n’en sommes pas certaines. Peut être la réponse se trouve t’elle dans le reste du recueil ?
Ernst Theodor Amadeus Hoffmann est un écrivain romantique et allemand du XVIIIe.
Contrairement a ce que l’ambiance du texte pourrait nous faire penser l’action ne se passe pas en Italie mais en Allemagne comme le souligne le narrateur. Ce dernier est un étranger, nous ne savons pas de quel pays, en