Dossier de presse sur les tsunami
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En mars 2011, le Japon a vécu une catastrophe tellement énorme que la population mondiale en est restée bouleversé. Encore une fois, malheureusement le japon a subi des destructions majeures à l’échelle nationale. Le séisme de magnitude 9,0 n’a fait que peu de victimes et de dégâts grâce a l’ingéniosité des bâtiments japonais. Le tsunami qui a suivit le tremblement de terre a été sans pitié. Mais quel sont les conséquences au niveau économique ? Le Japon a subi des pertes massives en 2011. Le séisme et le tsunami ont fortement touché l’économie japonaise. Le gouvernement a chiffré le coût de la catastrophe à 3,5 points de PIB soit 16 900 milliards de yen. Face à ces destructions, le gouvernement a dû avancer un budget de 19 trillions de yen. « Par ailleurs, la valeur du yen sur les marchés recule dans un premier temps, passant d'un dollar pour 82,75 yens en fin de matinée, à un dollar pour 83,30 yens dans les minutes qui suivent le séisme, avant de reprendre de la valeur face à l'euro et au dollar américain suite à des rapatriements de fonds »[1]. Les nombreuses usines détruites par le tsunami et le tremblement de terre n’aident guère le pays. De plus la région autour des centrales est paralysée. Il y a des coupures d'électricité qui empêchent la production dans des usines intactes, il y a des problèmes d'approvisionnements considérables[2]. Il y a de nombreux secteurs touchés comme la pétrochimie, l’acier et la télécommunication. Par exemple, l'usine qui produit un des composants de l'IPad 2 ne tourne plus. Elle fournit 50% de la production mondiale de la tablette d'Apple. Plusieurs entreprises ayant des usines dans la région du Tōhoku doivent y suspendre leurs productions, notamment des constructeurs automobiles comme Toyota, Nissan ou Honda. Le secteur qui représente 13 % de la production mondiale dont la moitié est destiné aux exportations. D'autres productions comme celles d'écrans plasma, de panneaux photovoltaïques, de mémoires flash ou de batteries qui