Droit international public

725 mots 3 pages
Afrique pèse peu dans les RI, elle est un acteur qui subit. L’ASS n’est pas dotée de l’arme nucléaire, elle n’est donc pas une puissance nucléaire, ni une puissance militaire forte. Les pays africains ne sont pas membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU. Les Etats africains n’ont pas de droit de veto. Au niveau de la BM et du FMI, pas de réel pouvoir non plus, car pas d’argent (1$=1voix). On pourrait donc traiter une Afrique déclassée politiquement.

Toutefois, il y a la force des faibles pour peser dans les RI. Des stratégies d’alliances notamment. Entrée des pays émergents qui sont des puissances militaires, éco et politiques : Chine, Inde, Brésil. Ce qui diversifie les jeux d’alliance. Les pays pétroliers, eux aussi sont dotés d’une très grande puissance, et assurent une présence croissante (Arabie Saoudite, Iran, Emirats, Lybie etc). Le faible peut aussi jouer un rôle car nous sommes dans la mondialisation : les maux publics mondiaux (externalités négatives) se diffusent -> il faut donc agir à la source ; par ex l’UE ne sera jamais stable tant que l’Afrique ne sera pas stabilisée (épidémies, migrations etc), le pollué devient payeur.

De plus, aujourd’hui, les relations ne sont plus internationales. On n’est plus seulement dans un jeu de relations de puissances, on est dans des stratégies réticulaires, dans des appartenances à des réseaux. La territorialité étatique est débordée par la transnationalité sans jamais avoir été achevée mais elle demeure le cadre de référence principal de l’international.

La coopération entre l’Afrique et les pays Asiatiques, est très ancienne. Tout d’abord, la « Conférence de Bandung » qui s'est tenue du 18 au 24 avril 1955 à Bandung, en Indonésie, avait réuni pour la première fois les représentants de vingt-neuf pays africains et asiatiques. Cette conférence marquera l'entrée sur la scène internationale des pays du Tiers monde.

L'Asie a été le premier continent à voir se multiplier de nouveaux États ayant

en relation

  • Géopolitique gaz/ptrole
    1090 mots | 5 pages
  • Droit international
    1445 mots | 6 pages
  • Droit public international
    566 mots | 3 pages
  • Droit international
    1694 mots | 7 pages
  • Droit international public
    993 mots | 4 pages
  • Droit international
    630 mots | 3 pages
  • Droit international public-cavej
    55957 mots | 224 pages
  • Droit international
    555 mots | 3 pages
  • Droit international
    333 mots | 2 pages
  • Droit international
    24407 mots | 98 pages
  • Droit international
    2328 mots | 10 pages
  • Droit international
    26785 mots | 108 pages
  • Droit international
    4788 mots | 20 pages
  • Droit international
    4969 mots | 20 pages
  • Droit international
    33950 mots | 136 pages