Les droits de l’enfant

Résumé

L’enfant a besoin d’être élevé, mais surtout bien élevé. On doit n’en seulement fortifier son corps, mais encore former sa conscience.

Cette conscience n’arrive pas tout faite : on la fait ou on la défait suivant l’éducation. Alors, l’enfant est un individu de l’avenir, incapable, au début de la vie, d’affirmer ses droits et de les défendre, il revient à la famille et à la société de les reconnaître. Les enfants doivent reconnaître ainsi leurs droits à savoir le droit à la santé, à la famille, à l’éducation et à la protection contre le travail de force et le droit à la protection et d’autres droits essentiels.
Cependant, l’enfant est défini comme tout être humain de moins de 18 ans, sauf si la loi nationale lui accorde la majorité, plutôt.
Chaque jour, la violence détruit la vie de millions d'enfants sans qu'un tel drame n'éclate au grand jour. Ce phénomène caché, voire parfois toléré par les sociétés et par conséquent par les populations qui s'y développent, doit devenir « l'affaire de tous », à commencer par les Etats – signataires. Il existe deux types de violence : la violence physique et la violence économique qui font l’objet de plusieurs disposition.

Selon l’article 209 du code de la famille, Parmi les devoirs des époux énoncés, on peut citer leur responsabilité commune dans la « gestion des affaires du foyer familiale et des enfants » et « la concertation en matière de décision relative à la gestion des affaires familiale, des enfants et du planning familial ».

Grâce à l’uni de la convention internationale et l’observatoire national des droits des enfants, ils ont pu diviser les droits de l’enfant en trois ensembles principaux : • Les droits de vivre, de survivre et de se développer ; • Les droits de participation ; • Les droits à la protection.

La Convention relative aux droits de l'enfant est le premier instrument juridique international ayant force obligatoire qui énonce toute la panoplie