Chapitre 3 : De la science politique à la science juridique
Section 1 : La science politique en Grèce

Une science ça impose une méthode. A partir du moment ou on a des outils et une méthode d'analyse on est une science. Les grecques ont inventer la science politique. Ces outils, ces analyses portent sur la politique. On a vu que chez les grecques, la loi était le fondement de la cité. Le mot grecque pour dire cité c'est Polis. Si la droit en Grèce s'intéresse à la cité alors elle s'intéresse a la politique. A Athènes la loi est considéré comme du droit public puisqu'elles visent à maintenir l'ordre public de la cité. En Grèce il y a les philosophes qui ont réfléchit au droit. Sophocle est un auteur de théâtre , il a inventer Antigone et grâce a lui on sait qu'en Grèce il y avait du droit naturel. Les philosophes vont réfléchir à des concepts. C'est eux qui vont dire que la loi fait la cité. Il y a une méthode positive et une méthode négative de la loi.

La méthode positive d'analyse : méthode très très rationnelle d'observation. Aristote va compiler tous les textes de droit qu'il va trouver et il va tirer des notions général sur la tyrannie et la démocratie. Aristote observe aussi la nature, les hommes, les animaux, le temps. C'est lui qui a élaboré la théorie des climats. Montesquieu avait déterminé le comportement des Hommes par rapport aux climats et il a repris ça d'Aristote. La méthode négative d'analyse : elle vient des sophistes. On l'appelle « méthode négative ». Les sophistes prennent n'importe quoi, n'importe quelle règle et par la rhétorique et le travail intellectuel ils font autre chose. La rhétorique c'est l'art du langage ; Les juristes doivent être rhéteur. Les sophistes ont analyser la loi avec le verbe c'est à dire avec des analyses terminologiques. Si on sort le mot de son contexte on peut en tirer des choses fausses. Le danger de la rhétorique c'est qu'on peut transformer un truc anodin en autre chose, c'est pour ça