Introduction :

La liberté du travail est un droit dont joui tout employé, considéré comme une richesse il apporte des revenus ainsi que de l’épanouissement personnel. L’inactivité professionnelle est considéré comme une situation d’échec car notre statut défini souvent notre façon de vivre et notre degrés dans cette société. Il n’y a pas de définition exacte. Toutefois, en consultant l’article de loi du code du travail il est indiqué sur la liberté individuelle de chaque citoyens que « L. 412-1 du Code du travail, issu de la loi du 27 décembre 1968 relative à l’exercice du droit syndical dans les entreprises, stipule que « l'exercice du droit syndical est reconnu dans toutes les entreprises dans le respect des droits et libertés garantis par la Constitution de la République, en particulier de la liberté individuelle du travail ». En effet la liberté c’est aussi être syndique et avoir des droits hormis les obligations à suivre. L’article du code pénal indique, également le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, auquel renvoie celle du 4 octobre 1958 aujourd’hui en vigueur, ne mentionne en aucun cas ce principe. Il affirme seulement que « chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi ».

I / Le sens actuel du concept de liberté du travail

a) Evolution de la notion

Cette notion existée depuis la révolution, celle-ci était présentée comme une liberté universelle. Elle a été crée dans le but de définir des métiers et des statuts, en effet la révolution Française a permis cette liberté de travailler. Selon les historiens la liberté du travail été mentionnée dans l’edit de Turgot qui date de février 1776, en indiquant de manière précise dans son préambule que : « Chaque individu talentueux ou non doit pouvoir avoir la possibilité d’effectuer quelque travail qu’il souhaite, ou même d’en effectuer plusieurs. Ainsi, cette liberté de travailler pour tous implique la volonté d’abolir les privilèges, les statuts, et surtout les