Du contrat social de rousseau
• Chapitre 2 : « Des premières sociétés » o « La famille est [...] le premier modèle des sociétés politiques [...]. ». On ne peut pas fonder l'ordre politique sur l'esclavage : « Les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir de s'en sortir [...]. ».
• Chapitre 3 : « Du droit du plus fort » o Peut-il y avoir un droit du plus fort ? Celui qui renverse le plus fort détruit le droit ; la force ne peut pas fonder le droit. o « Toute puissance vient de Dieu, je l'avoue ; mais toute maladie en vient aussi. » : référence à St Paul —> pouvoir de droit divin. o Quelles sont les puissances légitimes ? Les citoyens.
• Chapitre 4 : « De l'esclavage » o L'esclavage est un rapport de force. o Le droit de la guerre n'est pas naturel : les hommes ne se font pas naturellement la guerre : « C'est le rapport des choses et non des hommes qui constitue la guerre [...]. ». o La guerre n'apparaît que lorsque des États sont formés : « La guerre n'est donc point une relation d'homme à homme, mais une relation d'État à État [...]. ». Selon Rousseau, les guerres ne détruisent pas les biens privés : « Même en pleine guerre un prince juste [...] respecte la personne et les biens des particuliers [...]. ».
• Chapitre 5 : « Qu'il faut toujours remonter à une première convention » o Un tyran n'a pas de peuple : « Que des hommes épars soient successivement asservis à un seul, [...] je ne vois là qu'un maître et des esclaves, je n'y vois point un peuple et son chef [...]. »
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