Décompensation
Biblio :
Freud S.,1911.
Remarques psychanalytiques sur l’autobiographie d’un cas de paranoïa (dementia paranoides), (Le président Schreber). In : Cinq psychanalyses. Paris : PUF, 2005, pp.265-324.
Julien, Ph., 2003. Psychose, perversion, névrose
Plan :
Intro
I)Fonctionnement par imitation et « mauvaise rencontre »
1) le moment de bascule
2) réponse du psychotique à la forclusion • 2.1 Le moment de la « décompensation » • 2.1.1 Elision dans l’imaginaire • 2.1.2 Elision dans le symbolique
3) Le traitement et l’angoisse • 3.1 Perplexité • 3.2 Conviction II ) L’enjeu du délire : la question de l’égo
1) L’acte créateur ou comment se faire un nom
2) La question du nom : ✓ Le cas Aimée ✓ Le cas Camille Claudel
3) Perspectives thérapeutiques
Conclusion
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Introduction.
Dans la psychose ce qui va caractérisé cette structure c’est le mode du maintient d’une unité d’image, d’une cohérence identitaire. Cela va se jouer autours de la sauvegarde de l’identité.
Caractérise cette structure, un sujet psychotique n’est pas reconnaissable, il peut se conduire comme tout le monde, bénéficier d’une bonne réussite professionnel, bénéficier d’une bonne structure familiale, car il se construit par adhésion quasi-total à des normes sociales qui lui confère un statut. Il peut ne pas avoir de décompensation. On observe un maintien dans le lien sociale, avec la présence d’une normalité ; presque symptomatique.
Pour le psychotique en fonction des aléas de son histoire, il est possible qu’il soit confronté à la loi œdipienne qu’il rencontre dans la réalité extérieure. Et la fragilité de la personnalité peut tout a coup apparaitre, se révéler, car la loi œdipienne est exclus (for-close ) de son système de penser. Quand il rencontre cette loi, cela génère