définition du désir
Épicurisme: on se contente d'une vie frugale pour respecter une loi morale, et à la débauche, qui entraîne des souffrances du corps et des troubles de l'âme. le plaisir est nécessaire au bonheur nous acceptons la douleur si elle est passagère, et si elle est la condition d'un plaisir plus haut. Par exemple, l'exercice physique du corps est douloureux, mais la santé qui en résulte est un plaisir. (ref: Protagoras) Le résultat sera l'autarcie, état où l'on se suffit à soi-même en limitant ses désirs : on ne dépend pas des autres, et on ne passe pas sa vie à la poursuite d'objets extérieurs. En se contentant de satisfaire des désirs naturels, on a réduit le désir aux besoins naturels. Mais cette limitation des désirs pose la question de savoir si l'on peut réduire le désir au besoin ; et si l'on peut distinguer des besoins naturels et des besoins artificiels.
Hédonisme: recherche du plaisir et l'évitement du déplaisir constituent l'objectif de l'existence humaine. stoïcisme: le bonheur consiste à rester maître de soi quels que soient les événements. Cette maîtrise, qui est une vertu, est la parfaite paix de l'âme de celui qui se conforme à la nature (ref: Épictète)