Développement durable et pauvreté
Très bonne initiative, le procédé gagne à être connu en France…bonne chance aux étudiants qui plancheront sur le sujet !
• BOUTCHANG Says: mai 28th, 2009 at 11:38
Oh que oui!!!!!!!!!!!! Je trouve ces taux à la limite de l’usure! Pourquoi? je m’explique:
Bien que les professionnels du microcrédit et ceux qui les défendent et accompagnent (comme le Président de Planet finance) avancent l’explication de l’addition ou multiplication des coûts individuels de microcrédits par emprunteur, pour expliquer cette dragée haute des taux par rapport aux taux de crédits traditionnels, je trouve les différentiels excessifs!!! (ils varient entre 15 et 30% environ des taux directeurs des principaux marchés financiers); quand on se rappelle que la plupart de ses professionnels prétendent ainsi “lutter contre la pauvreté”, on a plutôt envie de croire qu’ils veulent “s’enrichir sur la pauvreté”.
De plus, ils prétendent les apporter un accès au crédit que les pauvres n’auraient reçu nulle par ailleurs, car excluent du système bancaire traditionnel. Pourtant subsistent dans la plupart des cas des garanties matérielles et/ou solidaires. Le microcrédit semblent déjà être un échec, tout au moins pour cet objectif de lutte contre la pauvreté, car il permet difficilement l’accumulation du capital. Il faudrait déjà à mon avis repenser ce système.
• micael Says: juin 4th, 2009 at 9:38
Les taux sont élèves par rapport a quoi? a quel taux ? il faut chercher le référentiel de cette affirmation. J’imagine que la comparaison se fait par rapport au secteur bancaire, mais il faudrait clarifier les choses tout en restant objectif et en oubliant pas que les taux varie d’un pays a un autres. les institutions de microfinance fonctionnent de façon très différentes des banques, leur activité mobilise un nombre élèves de ressources par rapport à ceux des banques, elles (les institutions) octroient de très petits prêt qui engendre des cout élève cout relative