Dans l’extrait du roman Germinal, «Le lever chez les mineurs», les inégalités sociales envers les mineurs nous est présentées, par le narrateur, les mauvaises conditions de vie de ces derniers. Tout d’abord, on peut le constater par le manque de nourriture qu’on la famille Maheu. En effet, leur déficit budgétaire ne leur permet pas de pouvoir subvenir au besoin de la maisonnée. La Maheude, en ayant «le buffet vide, les petits [qui] demandent des tartines, le café […] manquant» (l.93-94), elle est dans l’obligation de «tromper la faim avec des feuilles de choux de bouillies» (l.95). Comme en témoigne l’extrait, l’accumulation des éléments pour manger nous fait constater l’amplitude du manque de nourriture pour les 7 enfants et les parents. Aussi, on peut relever une personnification de la faim pour montrer l’importance de la satisfaire au dépend d’en subir les conséquences. Ensuite, on peut observer que le narrateur nous montre les conditions insalubres de la famille de mineurs. Effectivement, les chaises dans la chambre des enfants «dont le ton fumeux tachait durement les murs» (l.14-15) et la «terrine rouge servant de cuvette» (l.15) nous montre que les conditions de la famille Maheu n’est pas hygiénique. On dénote que «l’eau [donne] la colique» (l.94), une pathologie au niveau des intestins qui donne des douleurs abdominales. On dit aussi que l’odeur de la chambre des mineurs sent le «bétail humain» (l.5). «Bétail», qui est un nom attribué aux animaux vivant dans une ferme. Cette comparaison nous laisse sous-entendre l’odeur d’animal, d’excrément, de sueur et tout ce qu’on peut faire référence à une ferme. Bref, il est évident que le narrateur veut nous montrer l’inégalité sociale par le manque de nourriture et l’insalubrité chez les mineurs.

D’un autre côté, le narrateur nous présente dans l’extrait «Le lever chez les bourgeois» les inégalités sociales par la vie luxueuse de la famille Grégoire. Pour commencer, on peut le constater par la richesse de