e) L'UMP (droite) :

L'UMP marque son opposition au mariage homosexuel et à l'homoparentalité.
En effet, lors d'un entretien dans le Figaro Magazine, le samedi 2 septembre 2006, Nicolas Sarkozy a exprimé son opposition au mariage homosexuel et l'adoption par les couples du même sexe. Cependant, il a plaidé pour la création d'un «système qui, sur le plan fiscal, patrimonial et successoral, garantisse l'égalité entre couple hétérosexuel et couple homosexuel».
On constate donc que L'UMP a un avis défavorable sur la question du mariage l'homosexuel et de l'homoparentalité mais propose quand même des moyens pour reconnaître le couples homosexuels. De plus, cette polémique sépare le parti car certains soutiennent les homosexuels.

f) Le Front National (extrême droite) :

Le Front National rejette l'homosexualité.
En effet, Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National, a declaré le 13 février 1984, dans «L'heure de Vérité», sur Antenne 2 : «L'homosexualité n'est pas un délit, mais constitue une anomalie biologique et sociale».

De plus, il rejette l'homoparentalité.
Ainsi, le 25 Mars 2002, il a répondu à la loi de la libération sur l'adoption qu'il était totalement défavorable à l'adoption d'enfants par des couples homosexuels.
En effet il rappelle le 29 Mars 2002 dans le magasine VSD, que l'homosexualité n'est pas une variante de l'amour conjugal, mais procède d'une particularité psychoaffective. Le projet de loi sur l'autorisation de l'adoption aux couples homosexuels aurait donc pour conséquence logique de donner à ces personnes un pouvoir d'adoption qui provoquerait des déséquilibres incalculables chez les enfants victimes d'une société perverse.

On constate donc que le Front National est un des rares partis politiques ayant un avis défavorable sur la question de l'homosexualité et de