Eco chapitre 3
La notion de marché et la loi de l’Offre et la Demande sont au cœur de la logique économique. Au cœur de l’économie libérale, au cœur du capitalisme.
I) Unité et diversité des marchés
Les marchés sont extrêmement diverses. Il existe des millions de marchandises diverses de biens et services. Et chacune des marchandise à son marché.(ex : marché du concombre, marché du cinéma, marché funérailles)
Le terme de marché vient du marché moyenâgeux qui était le principal lieu d’échanges entre vendeurs de produits agricoles et acheteurs
En économie, le marché peut se définir comme étant un lieu (physique ou virtuel) de rencontre entre des O (=le producteur, le vendeur) et des D (=clients, Cteur, acheteur). C’est aussi un lieu d’échange d’une marchandise à 1 prix fixé par le marché.
Celui qui paye= demandeur
Celui qui est payé=offreur
II) Le fonctionnement des marchés nécessite des règles et des institutions
A) Le marché : un ordre naturel ?
Pour A. Smith, le marché répond à un ordre naturel. Smith imagine que tous les hommes répondent à la même logique que les anglais càd acheter et revendre ailleurs.
A. Smith rappelle que chaque homme est animé d’une multitude de besoins. Or nos talents sont restreints, on ne peut pas tout produire. Donc les hommes vont échanger les marchandises dont ils ont besoins.
Pour A.S les hommes sont égoïstes. Ils ne pensent qu’a leur intérêt perso = gagner un max d’argent pour voir le max de biens et services afin de satisfaire le mieux possible les besoins/désirs.
Pour gagner un max d’argent = vendre le mieux et + possible ce que je suis capable de produire
Pour bien vendre= répondre aux intérêts et aux besoins des autres.
Donc en se comportant égoïstement chaque homme comme pousser par une main invisible défend sans le savoir l’intérêt collectif grâce au marché sur lequel il agit en O et D.
Certains libéraux ont poussé les vertus du marché à leurs limites externes :
En cas de crise le marché s’auto