Eco financiere
Mardi 3 février
On appréhende la monnaie par ses fonctions :
- c’est d’abord un instrument de mesure
- un instrument d’échange
-un instrument de réserve
Mouton en latin : pecus
On repère ensuite la monnaie par ses formes :
- les monnaies divisionnaires => la révolution française introduit le système décimal.
15ème siècle : apparition du billet à ordre.
- la monnaie scripturale
Il n’y a pas de création monétaire sans contreparties.
Il y a 5 familles de théories :
- les conceptions classiques : loi de Gresham, 1870 : Walras – Pareto
=> la monnaie est un voile, on n’a pas un comportement d’épargne.
=> la monnaie est une marchandise comme une autre.
Théorie quantitative : M.V=P.Q
M : masse monétaire
V : vitesse de circulation de la monnaie
P : prix
Q : quantités échangées
Une équation est une tautologie. On passe à une théorie lorsque l’on introduit une relation de causes à effets.
Si la masse monétaire augmente plus vite que les quantités échangées alors il ya de l’inflation.
Keynes essaie d’énoncer une théorie générale
ILMS : recherche
Théorie sur le taux de change
Théorie sur les encaisses et participations
Mardi 10 février
Voir les emprunts russes - Alfred Sauvy-.
En 1930, le France est en décroissance. La situation est la même en Angleterre et en Allemagne. Elles sont exsangues.
Jusqu’en 1958, le gouvernement français va être acculé à des dévaluations.
Des mesures draconiennes doivent être prises pour la reconstruction du pays après 1945. Le général de Gaulle, en 1944, est face à deux choix : la relance par la reconstruction ou la relance par la restructuration des comptes publics (Mendès-France). Ce dernier préconise de changer de monnaie, de faire un nouveau francs.
Le plan de Mendès – France n’est pas retenu pour des raisons techniques. C’est donc le plan de René Pléven qui est retenu et l’on va continuer les dévaluations jusqu’en 1958. Et dans le même temps il y a une