Economie de marché
Introduction :
Emergence de la pensée classique avec les révolutions industrielles grâce à de grands auteurs tels que Smith La richesse des nations ou Ricardo (Des principes de l’économie politique et de l’impôt) qui s’interrogèrent sur la question centrale de la valeur et du fonctionnement du marché. Remis en cause par Marx, les théories classiques sont pourtant reprises par un nouveau courant, celui des néo-classiques, fondé par Walras, Jevons et Menger aux alentours de 1870
PB : Quelles ont été les points de continuité et de rupture face aux théories classiques lors de la révolution marginaliste et l’émergence de la pensée néoclassique ?
I) Les néo-classiques s’appuient sur l’héritage classique : la continuité
* Idée de l’autorégulation du marché dans la filiation classique. Ils croient en l’existence d’un équilibre général de l’économie. (à dvlper)
Idée de l’homo oeconomicus (du classique JS Mill) reprise, l’individu est rationnel et cherche à maximiser son profit suite à une réflexion gains/ couts
De même que la flexibilité de prix, Ricardo avait énoncé la théorie de la gravitation des prix, Walras y ajoute la métaphore du commissaire priseur
La flexibilité permet l’équilibre du marché
* La reprise de la loi de l’offre et de la demande
Enoncée par le classique JB Say (« toute offre crée sa propre demande ») en cherchant à la clarifier et à la rendre plus scientifique
Loi admise par tous les classiques et devient un fondement de la théorie marginaliste qui raisonne à long terme
Walras tente de la mathématiser
* Conception neutre de la monnaie, elle n’est qu’un moyen d’échange et elle n’a pas d’influence sur la sphère réelle, ce qu’on appelle la théorie quantitative de la monnaie (TQM)
II) D’importants points de rupture
Passage d’une vision macroéconomique, dynamique et centrée sur la production à une vision microéconomique, statique, centrée sur le consommateur
* Focalisation sur la