Economie genérale
Introduction : On voit bien qu’aujourd’hui aucune nation ne peut subvenir à ses besoins seule ; soit elle n’a pas les matières premières nécessaires (pétrole, métaux mais aussi les denrées agricoles), soit on ne fabrique pas de biens qui sont désirés par la population. Aujourd’hui, on vit dans une société de consommation et les média font qu’on a envie de consommer ce que consomment les autres pays. Donc le libre échange est une nécessité pour les nations qui doivent acheter des produits à l’étranger (importations) mais également exporter, vendre des produits à l’étranger ce qui va leur permettre de se procurer des devises (monnaies étrangères).
L’Histoire est une succession de périodes de libre échange mais aussi une succession de période protectionnisme. I. La théorie du libre échange.
Doctrine économique selon laquelle les biens doivent circuler librement entre les nations. A. Les trois grandes étapes de l’approche traditionnelle.
1. Adam Smith. (1723-1790) : Théorie de l’avantage absolue.
Portugal Grande Bretagne Drap 20 60 Vin 60 20
La Grande Bretagne étant plus productive pour les draps, et le Portugal étant plus productif pour le vin. La GB perd son temps avec le vin, et le Portugal avec les draps. Il faut se spécialiser. La GB a un avantage absolu dans la production de drap, et le Portugal un avantage absolu dans le vin. Et après ils échangent leurs production.
Pour Smith, la solution est simple il faut se spécialiser.
Egoïsme particulier des nations, bonheur collectif du commerce international Extension de la théorie de la main invisible.
Problème : Si un état n’a pas d’avantage absolu, et bien il n’y a pas de solution pour Smith. Il va falloir instaurer des droits de douane. Ils permettent de basculer dans un avantage absolu artificiel. 2. David Ricardo (1772-1823) : la théorie de l’avantage comparatif.
Il n’y a pas d’avantage absolu, on a intérêt à échanger.