Economie

530 mots 3 pages
Les classiques (A. Smith, D. Ricardo, J.-S. Mill, J.-B. Say) : fin XVIII ème siècle, période d’expansion industrielle :
- la valeur d’un bien provident dans la quantité de travail qu’il incorpore. Cf Théorie de la valeur travail (Smith et Ricardo),
- Importance de la division du travail chez Smith, elle source d’augmentation de la productivité et donc de la richesse.
- le libéralisme économique est l’état idéal et naturellement favorable à l’augmentation de la richesse produite. L’état doit intervenir aussi peu que possible et faire aucun obstacle à la circulation des marchandises. Parabole de la « main invisible » apologie du marché et du laisser-faire.
- Say avec sa « Loi des débouchés », les produits s’échangent contre des produits, « l’offre crée sa propre demande », la monnaie ne peut être thésaurisée pour elle-même.
- K. Marx : met en avance le concept d’exploitation dans la théorie de la valeur.

L’école néo-classique (L. Walras, C. Menger, S. Jevons), début des années 1870 :
- rupture avec la période précédente, on passe de l’accumulation des richesses, l’économie devient la science de la rareté et l’allocation des ressources rares,
- nouvelle approche de la valeur d’un bien, ce n’est plus la quantité de travail mais l’utilité pour celui qui le consomme,
- raisonnement à la marge (utilité marginale : utilité procurée par la consommation d’une unité supplémentaire de ce bien qu’on compare au prix du bien),
- raisonnement à partir d’un individu représentatif rationnel cherchant à maximiser sa satisfaction (approche microéconomique et utilisation des mathématiques),
- approche en termes d’équilibre général, équilibre simultané sur tous les marchés de l’économie. Fléxibilité des prix => équilibre stable. Pas de rôle de la monnaie dans cette économie (rôle d’étalon),
- idée optimalité selon W. Pareto et concurrence pure et parfaite.

Keynes et l’école keynésienne, à partir des années 1930 :
- refuse les préceptes classiques et néo-classiques

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