Q1. Le degré d’ouverture de la Chine au commerce international entre 1987 et 2011 à très fortement augmenté, en effet, la Chine exporte de plus en plus chaque année et s’impose aujourd’hui comme un leader, car les produits chinois moins cher continuent à être substitués aux produits européens ou américains plus cher, ce qui lui fait gagné de nombreuses part de marché. Cela montre donc la capacité de la Chine à échanger encore plus avec l’extérieur, tout en maintenant une forte croissance de son PIB.

Le solde commerciale de la chine pour le commerce de marchandise est excédentaire, car son solde est supérieur à 0 (156), c’est-à-dire, qu’elle exporte plus qu’elle importe de marchandise et que la Chine à la capacité de ce financer et de ne pas dépendre des autres pays dans ce domaine.
Alors que pour le commerce de services la Chine est déficitaire, car son solde est inférieur à 0 (-55), c’est-à-dire, qu’elle importe plus qu’elle exporte de marchandise et donc que la Chine dépend des autre pays dans ce domaine.
Mais d’une manière générale la Chine compte un plus grand nombre d’exportation (2081 milliards de dollars courants) que d’importation (1980 milliards de dollars courants) ce qui montre que la Chine est excédentaire et qu’elle a une capacité de financement, car fait entrer plus de devise qu’elle n’en sort.

Q2. La réévaluation de la monnaie chinoise aurait pour conséquence pour les entreprise chinoise de permettre à leurs salariés de touché de meilleure rémunération, et d’augmenter le prix des produits chinois, mais cela conduirai probablement à une délocalisation des industries de main-d’œuvre vers les pays ou les salaires seraient encore plus faible, une réévaluation de la monnaie chinoise n’avantagerai donc pas les entreprise chinoise.
Alors que à l’inverse pour les pays extérieurs la réévaluation de la monnaie chinoise serait un avantage, car cela permettrai de rendre le travail chinois plus cher et donc moins compétitif ce qui permettrai au