Economie

Chapitre 8 : Les facteurs de croissance

Facteur travail : main d’œuvre disponible dans un pays (chômeurs et travailleurs)

Dans 20 ans, 80% des métiers nous sont encore inconnus.

USA ; 4% de chômage et 4% de croissance

Progrès technique : (PGF) la part de la croissance qui ne résulte pas de la seule augmentation des facteurs de production, mais provient de l’efficacité avec laquelle ces derniers sont utilisés.

La croissance extensive : résulte principalement de l’augmentation des quantités de facteurs de production mis en œuvre (plus de L, machines, etc)

La croissance intensive : est le résultat de l’amélioration de l’efficacité des facteurs de production ; elle se traduit par l’augmentation de la valeur ajoutée par salarié ou par l’accroissement des performances des machines, du fait du progrès technique. Elle s’appuie donc sur des gains de productivité.

Pour Schumpeter, la croissance repose, en plus d’autres facteurs, sur le chef d’entreprise, ce « héros » qui entreprend et prend le risque d’innover.
Pour Solow : c’est l’investissement qui explique la croissance. Mais la croissance touche ici sa limite lorsque l’investissement devient inutile. Alors, il a réfléchi et ajouté le progrès technique comme le facteur croissance.

Les innovations nouvelles contribuent à l’obsolescence des technologies déjà existante. C’est le système de la destruction créatrice par Schumpeter.

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Le progrès technique correspond à l’amélioration des connaissances issues de l’expérience ou de la recherche. Il permet soit de produire autrement, soit des produits nouveaux, soit d’améliorer la performance des produits existants.
De 1985 à 1995, la croissance est de 9,9 % et s’explique par une augmentation des facteurs de production pour 3,9 % et pour 6 % par le progrès technique. De 2005 à
2011, la croissance s’élève à 4,5 % grâce à une croissance des facteurs de production pour 1,1 % et pour 3,4 % grâce au progrès technique.
La croissance peut s’expliquer