*Texte 2 Les faubourgs de Paris se réveillent sous la rosée d’un matin de juin… Les commerçants ouvrent leurs rideaux pour recevoir les livraisons. Les rues sont nettoyées par des hommes jaunes. Les premiers bus arrivent pour prendre les courageux du matin.La tour Eiffel a froid aux pieds, l’arc de Triomphe transperce cette brume. Des faubourgs à l’Elysées, la ville se réveille tout doucement.. Puis c’est au tour des écoliers de traverser la capitale pour apprendre.. Les grandes avenues prennent de l’élégance pour accueillir les premiers touristes du matin. Dès l’aube, une ville est nimbée de silence. Seuls les bruits des livreurs, des balayeurs, des chats errants sont perceptibles. Puis huit heures arrive, les gens se précipite dans les cafés pour lire le journal et boire un remontant. Au fond du café du Dôme, Jean est assis tranquillement, lisant son quotidien. Jean est un jeune homme qui n’a pas de travail. Son seul but dans la vie était de devenir parisien.. Issu d’une famille paysanne, il n’a jamais travaillé et a toujours rêvé de la tour Eiffel, des belles échoppes Quand il avait sept ans, jean partit seul vers sa destination : Paris. Mais ses parents habitaient à Locronan et il ne pouvait pas prendre l’autobus car il n’y en avait pas. Son père voulait que son fils devienne fermier comme lui. Sa mère aurait voulu un fils ingénieur mais pensez vous Jean ce qu’il voulait c’était la liberté.. Parfois il achetait un journal sur Paris pour découper les images et pour en recouvrir les murs de sa chambre. Un soir de mai, Jean vit que sa maison prenait feu, ses parents eux périrent dans l’incendie.. Malgré le peu d’affaire, il partit en gare de Quimper et prit le premier train pour Paris. Pour pouvoir payer son ticket, il quémanda auprès des voyageurs de l’argent. Il gagna peu. Jean décida alors de se cacher dans le wagon à charbon situé derrière la locomotive.. Une fois arrivé dans la capitale, il se promena dans la vaste ville puis il vit une