Ecriture d'invention a la manière de françois mauriac
Pour le : 15/11/2012
Ecriture d’invention
Bernard Deysqueroux, dans son fauteuil, se demande pourquoi ? Pourquoi sa femme voulu le tuer ? Il repense à sa vie avant et après son mariage, les moments heureux qu’il a vécu avec son épouse, le moment où ils s’engagèrent pour la vie . Il est prêt à faire n’importe quoi pour garder intacte l’intégrité de son clan familial. Il imagine quelle vie pourrait continuer avec une femme qui a essayé de le tuer. Au rythme du battement glauque de l’horloge, il commence à fermer les yeux. Il peut à peine voir Thérèse, il fait sombre tout autour d’elle. Il essaye de se rapprocher de son amour mais plus il avance plus elle recule. La raison de toutes ses inquiétudes est qu’il ne pourra plus la toucher, lui parler. Il ouvrit les yeux, sursautant de son siège de cuir, il se rendit compte de son erreur : le manque de compliments, de petites attentions envers son épouse, qui entrainèrent sa colère. L’élément perturbateur de leur histoire n’est pas, comme le pensait Bernard, sa femme, mais lui-même. Il se rendit compte qu’il avait assécher et fait pourrir leur amour. Il se fit la promesse de rétablir une relation de sentiment de confiance avec sa compagne. Il s’imagina ensuite dans une belle et grande maison, avec ses enfants et Thérèse, prêt à manger une dinde de noël comme toute famille normale, heureuse. Les fêtes de noël arrivèrent et Bernard savait que son idéal ne se réalisera pas encore une fois, abandonnant ses rêves utopiques d’une famille traditionnelle…
Mais il peut toujours essayer de réparer ses erreurs, il y a un sentiment indigérable qui le ronge depuis maintenant quelques jours : la culpabilité, la culpabilité d’avoir poussé une belle femme raisonnée à commettre une tentative de meurtre. Bernard se remit terriblement en question car il a du se passer quelque chose d’horrible pour que son épouse fut obliger d’en arriver là. Il étudie la question après avoir fait un feu de cheminée. Bernard