Ecriture d’invention :

Quand j’étais arrivé dans cette ville il me fallait encore deux heures dix minutes à attendre l’express de Paris.
Une seul idée me venait a la tête trouver un moyen de tuer le temps, puis je ressortie de la gare en ayant l’esprit à trouver quelque chose à faire.
La ville était une petite ville je ne voyais que des petite maisons, la rue était presque vide il n’y avait aucun homme juste un petit chat qui passait de temps en temps, je ne savais que faire j’entrais dans le petit café du chemin de fer devant un bock imbuvable et l’illisible journal du lieu, quand j’aperçus un convoi funèbre qui tournait la rue latérale pour s’engager dans celle ou je me trouvais.
Quand j’aperçus le corbillard cela devenais un soulagement pour moi, c’était au moins dix minutes de gagnés, mais soudain mon attention redoubla, le mort n’était suivi que par deux monsieur dont un qui pleurait, les autres parlait amicalement, et il n’y avait aucun prêtre qui accompagné le mort et je pensais que c’était un enterrement civil, puis je pensais qu’il y aurait au moins des centaines de personnes qui accompagneraient le mort.
La marche du convoi me disait clairement que c’était un enterrement sans cérémonie, et, par conséquent sans religion.
Puisque la voiture funèbre passait devant moi une idée me venait a la tête celle de la suivre avec les huit messieurs.
J’avais devant moi au mois une heure d’occupation, et je me mis en marche, d’un air triste derrière les autres.
Les deux derniers se retournaient avec étonnement puis se parlaient bas, il ce demandaient certainement si j’étais de la ville puis ils consultaient les deux autres qui se mettait à me dévisager.
Je leur saluais et je m’excusais d’avoir interrompu leur conversation et je leur dit qu’en apercevant ce convoi funèbre je m’empressai de le suivre sans connaître le mort que vous accompagné et un des deux m’interpella et me dis « c’est une morte » et je répondais si c’était bien un enterrement civil.