Edmond Rostand
Il est issu d’une famille marseillaise très aisée. Son père est l’économiste Eugène Rostand. Durant l’année 1880, son père emmène toute la petite famille: Edmond, sa mère et ses deux cousines à Luchon, une station thermale à la mode à l’époque. Craignant des débordements éventuels du mouvement insurrectionnel de la Commune de Paris de 1880, Eugène Rostant met à l’abri les siens.
Ils trouvent refuge dans le « chalet Spont », puis ensuite ils habitent la « villa Devalz ». La « villa Julia » fut édifiée plus tard et construite près du Casino de la ville. Edmond Rostand passera plus de vingt-deux étés à Luchon. Cette vie et cette ville l’aidera à trouver l’inspiration pour ses premiers écrits. En 1888, il rédige notamment un epièce de théatre « Le Gant rouge ». Mais il publie surtout son premier recueil de poésie en 1890, qu’il intitule « Les Musardises ». Malgré son travail d’écriture, il mène des études de droit à Paris. Il s’inscrit mène à la fin de son droit au Barreau mais il n’exercera jamais. Il pense un temps se tourner vers la diplomatie et la politique mais c’est à la poésie qu’il soughiate s’exercer. En 1888, il découvre le champ de course de Moustajon avec un ami Froyez, un jeune journaliste parisien. et Avec des fleurs des champs éparpillées sur les pelouses, ils fleurissent les équipages de la course. Ils se font remarquer au café Arnative, un lieu à la mode et réputé. Le café devient leur terrain de jeu et leur champ de bataille de fleurs avec tous leurs amis. C’est de cette manière que fut institutionnalisée la première fête du « Corso fleuri ». Elle a lieu traditionnellement le tout