Emile zola
Nous allons ici montrer l'importance qu'Emile Zola donne au lieu grâce à differents procédés stylistiques. Tout d'abord nous pouvons observer l'immensité du musée avec les mots longue galerie. L'auteur se sert de cet espace qu'il décrit comme vaste pour faire un parallele avec la culture. Zola fait donc du musée une métaphore de la culture, celle-ci est très vaste et peut paraître insurmontable pour quelqu'un ne l'ayant jamais abordée auparavant. Zola précise ensuite l'interieur du musée et décrit les peintures présentes en son sein, il énumère les écoles de peintures nous pouvons relever une grande profusion artistique (...) les splendeurs des Vénitiens, la vie grasse et belle des lumieres de Hollandais (...) . ++ enumeration renforcement vaste = submerge De plus il utilise un vocabulaire mélioratif pour décrire les oeuvres, nous pouvons en relever le champ lexical “ fine, splendeurs, grasse, belle ”
Nous pouvons voir à travers ces différents procédés l'admiration que Zola porte à l'art. Par ailleurs avec les mots la propreté nue et recueillie des salles l'auteur compare indirectement le musée à un temple. Un temple, effectivement dépourvu de toutes fioritures est un endroit dans lesquel règne une atmosphère de recueillement.
Le musée serait donc un temple, celui de la culture .
Zola livre ici sa vision de la culture, magnifique mais impénetrable pour quelqu'un qui n'en possède pas les clés.
En comparant le musée à un temple, Zola souligne le caractère sacré que la culture emprunte à la