emile zola
Epoque : 2ieme moitié du 19ieme
Mouvement :Naturalisme
⇒ inspire par Molière, Montaigne et Shakespeare
⇒ proche du mouvement impressioniste
⇒ Il gagne l'amitié d'Édouard Manet, qui le représente plusieurs fois dans ses œuvres ; grâce à lui, Zola fait la connaissance de Stéphane Mallarmé. Il est proche aussi de Camille Pissarro, Auguste Renoir, Alfred Sisley et Johan Barthold Jongkind. Paul Cézanne, son ami d'enfance, tient évidemment une place à part.
⇒ À la librairie Hachette, l'idéologie positiviste et anticléricale le marque profondément. Il y apprend de plus toutes les techniques du livre et de sa commercialisation.
⇒ Dès 1863, Zola collabore épisodiquement, puis régulièrement à partir de 1866 aux rubriques de critique littéraire et artistique de différents journaux. Les quotidiens permettent au jeune homme de publier rapidement ses textes et ainsi, de démontrer ses qualités d'écrivain à un large public. C'est pour lui, « un levier puissant qui [lui] permet de [se] faire connaître et d'augmenter [ses] rentes13 ».
⇒ Il bénéficie de l'essor formidable de la presse au cours de la seconde moitié du xixe siècle, qui permet l'émergence immédiate de nouvelles plumes14. À tous les apprentis romanciers lui demandant conseil, et jusqu'aux derniers jours de sa vie, l'écrivain recommande de marcher sur ses pas, en écrivant d'abord dans les journaux.
⇒ Émile Zola est un homme éminemment sociable, multipliant les amitiés de tous ordres et tous milieux, tout en refusant les mondanités. Passionné par ses semblables, il privilégie cependant les amitiés artistiques et littéraires, et fuit les politiques. Dès 1868 et grâce à ses travaux journalistiques, il se lie avec les frères Goncourt, Edmond et Jules. Puis en 1871, il rencontre Gustave Flaubert. Celui-ci, à l'occasion de réunions dominicales, l'introduit auprès d'Alphonse Daudet et Ivan Tourgueniev. Toute sa vie, Zola gardera la nostalgie de ce « petit groupe » dans lequel de « trois à six, on