En attendant godot acte premier
3) ce discours n’est qu’un chaos verbal, nous ne pouvons voir de lien entre les mots. Il n’y pas de lien entre les mots car il n'y a pas de sens justement parce ce que tout est absurde. La démarche même qui consiste à se demander pourquoi c'est absurde est absurde, elle n’a pas de sens, puisque tout est fait pour montrer que l'homme n'a pas les moyens d'y répondre et que son désespoir vient du fait qu'il se pose des questions sur le pourquoi des choses. Le propre de l'absurdité c'est de ne pouvoir être explicable. L'absurde est l'incompréhensible, c’est avec ce chaos verbal que le théâtre de l’absurde attire le lecteur.
2) l’anti théâtre bouleverse l’expression verbale il parodie le langage traditionnel du théâtre. Le langage dans l’anti théâtre montre le vide le non-sens, l’absurde : l’intrigue ne progresse pas. Ici les mots se suivent par associations phonétique et calambour association inconsciente associations sérielle par principe de discontinuité (il passe du coq a l’âne) et par principe de rupture. Il y a une intrusion brutale de mots savants et de mots obscènes ou argotique.
4) il y a deux formes de discalies : la didascalie de langage et la disdascalie corporel de la pièce n’a pas de sens car le langage est absurde. En effet si le language n’a pas de sens pour que la pièce en est un la sienne doit-être jouer il y a alors une forme de didascalie sur le langage le ton l’emploie de l’exclamation et une sur la gestuelle