En la frontera
Almudena m'a tendu(s'a %+étendu) la main et nous serrons l'un contre l'autre, émus. Quand la barque a échoué dans le sable(arènes), nous avons compris tous aussi pour que la garde de frontières serve. De la pinède qui marquait les limites de la plage quelques voitures de la Garde civile ont surgi, et sont descendues d'eux une vingtaine d'agents, qui ont déployé dans une ligne pour nous recevoir.
Poseidos d'une énergie incroyable, les passagers ont abandonné le bateau avec agilité. Les derniers à le laisser c'ont été Almudena et je que nous aidons la paire du bébé à descendre. Les demas se sont dispersés par la plage dans la direction du bosquecillo, en essayant d'éluder désespérément les gardes. C'était une scène de rugby, dans laquelle quelques joueurs exercés d'uniforme placaban sans miséricorde aux membres anarchiques d'une équipe(équipement) de collège. L'un après l'autre ils(elles) sont tombés aux mains des policiers. Je n'ai pas pu savoir si certain a réussi à tromper le cercle et échapper vers son sommeil(rêve).
À notre dos, un bruit puissant de moteur a annoncé l'arrivée d'une pierre plate policière. Le capitaine et son un assistant ont compris qu'ils(elles) n'avaient pas d'échappatoire et ont baissé à une terre, en levant les mains dans un geste de reddition. Les gilets dénonçaient son métier.
Almudena et moi restons tranquille, en tremblant de froid, en protégeant la paire et le bébé, à l'attente de ce que le tour nous arrivait. Je n'ai pas osé scruter le regard de la femme et celle-là de son mari. Ce était suffisant ce qu'il(elle) voyait, trop pour pouvoir supporter le désespoir infini de ces personnes qui étaient arrivées à voir les côtes du paradis et peut-être ils(elles)