Question 1 : Quels sont les nouveaux enjeux de la famille ?

Question 2 : Comment le droit répond il à ces enjeux ?

Réponses :

Question 1 :

Actuellement, à notre époque, la conception de la famille en générale a changée.
De nouveaux enjeux se sont installés dans la société.
Ces enjeux sont positifs et/ou négatifs. On parle alors d’un déclin de la famille ou de changements de mentalité.
En effet, d’après une étude menée en Septembre 2009 pour TRIB, à l’aide d’un panel de 1000 personnes, la population estime en grande majorité : 74%, que les évolutions de la famille sont normales dans la société. De plus, pour fonder une famille, la population pense que le mariage n’est pas indispensable (contre 49.5% en 1994).
Ces réponses montrent une grande évolution des mœurs. Les choses qui au XX° siècle auraient pu paraître mal vu sont aujourd’hui moins stigmatisées.

Par ailleurs cette nouvelle mentalité n’est pas que positive. Mais ce n’est pas pour autant grave.
Les naissances hors mariages, les divorces, les couples sans enfants, les familles recomposées ou encore les concubinages augmentent, deviennent importants, par rapport aux années 1980 – 1990.
Il y a une diversification des formes familiales, la famille est bel et bien plurielle.
De plus, le mariage perd au fur et à mesure du temps de l’importance même si les unions sont encore très nombreuse. Cela est du à l’arrivée du Pacte Civile de Solidarité : PACS.
Pour 100 mariages célébrés, il y a 8 PACS.
Le principe de liberté individuelle semble désormais premier de plus en plus.

En conclusion, les normes sociales concernant la famille ont évoluées.
De nouveaux enjeux familiaux ont fais leur apparition et augmentés rapidement : PACS, divorces, concubinage …
Au détriment des fondements « obligatoires » de la famille : mariages qui durent, former un couples, avoir un enfant ou plusieurs.
La famille constitue un domaine fondamental de la vie social, mais qui est sujette à de considérables